Articles tagués “fonction publique

Dr Jean-Yves Le Deaut, député

Jean-Yves Le Déaut retrace son parcours doctoral en biochimie effectué à l’université de Strasbourg. Il présente « la rigueur » comme compétence phare développée par sa formation par la recherche.

Dans les actions à mettre en place pour revaloriser le doctorat, Dr Le Déaut propose :

  • de reconnaître le doctorat dans les conventions collectives ;
  • de reconnaître l’expérience acquise pendant le doctorat comme une expérience professionnelle et pas seulement comme une expérience académique ;
  • de proposer aux doctorants des formations à l’entrepreneuriat ;
  • de proposer un congé pour création d’entreprise ;
  • de faciliter l’accès des docteurs aux concours de la haute fonction publique ;
  • d’améliorer la visibilité des docteurs vis-à-vis des entreprises ;
  • de favoriser l’alternance y compris au niveau doctoral.

Côté politique, il est député de Meurthe-et-Moselle et vice président de l’OPECST. Dans le cadre de cet office, il a piloté l’ouvrage L’innovation à l’épreuve des peurs et des risques.

Pour les Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche, M. le député Le Déaut a été missionné pour « faciliter les relations entre les acteurs des Assises et les parlementaires de manière à ce que les évolutions législatives rendues nécessaires par les conclusions de ces travaux soient mieux identifiées et préparées » (source : lettre de mission du Premier Ministre datée du 3 août 2012).


Valérie Pécresse, des propositions non abouties

Mai 2008, un rapport co-produit par l’ANDES, Sauvons La Recherche avec l’appui de la Confédération des Jeunes Chercheurs demande la reconnaissance des docteurs dans la haute fonction publique (PDF).

Dans la foulée, Valérie Pécresse alors Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche s’exprime en affirmant « que dans la fonction publique, les docteurs doivent être recrutés au bon niveau (…) A l’ENA, il doit y avoir une place spécifique pour les docteurs ».

Trois ans plus tard, quel bilan?


Source : Interview de Valérie Pécresse, 2 mai 2008